Les honoraires constituent la rémunération des services rendus par l’avocat à son client et sont fixés dans les limites d’une juste modération, en tenant compte des paramètres propres à la cause (notamment l’importance et la complexité des prestations accomplies, l’enjeu du litige, la technicité ou la spécialisation des matières traitées, le résultat obtenu et l’urgence de l’intervention).
Les frais sont comptabilisés de la manière suivante :
Les frais et honoraires d’avocat sont soumis à la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) au taux de 21 %, sauf débours éventuels payés pour compte du client.
Dès le premier entretien, le client est tenu d’informer l’avocat de son assujettissement à la TVA.
Les frais d’huissier, d’expert, de conseil technique,… sont réclamés directement au client qui devra s’en acquitter aux intervenants.
Le coût des frais de justice (requête, copie…) éventuellement réglé par l’avocat pour compte du client fera l’objet d’une note de débours (au prix coûtant) adressée au client.
Tout ou partie de ces débours peuvent, à l’issue du litige, être mis à la charge de la partie qui succombe à la procédure.
Le Tribunal peut condamner la partie qui succombe à payer les dépens de la procédure à la partie qui obtient gain de cause.
Les dépens sont constitués des frais de procédure, frais d’expertise, de conseil technique, mais également de l’indemnité de procédure fixée forfaitairement en fonction de l’enjeu du litige.
Lors du premier entretien, le client est tenu d’avertir l’avocat de l’intervention potentielle d’un assureur protection juridique ou de la possibilité de bénéficier de l’aide juridique..
Des informations sont fournies par l’avocat sur simple demande